[f° 249. Pages 2 et 3 du cahier détaché du carnet 237-255, qui occupe les folios 248-254v°. La partie gauche du folio reçoit des notes au crayon; la partie droite est occupée par un texte suivi, écrit à l'encre au-dessus de notes au crayon -voir le folio 248.]

 

[partie gauche]

[fragment d'une vingtaine de mots, non lu quoiqu'il soit barré d'un trait sinusoïde et donc vraisemblablement employé]

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Au commencement de la séance, un nouveau pair avait été introduit. De là des chuchotements sur tous les bancs.

[scénario très schématique pour II, 8, 5]

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que S[a] M[ajesté] lui enverrait ses ordres d'ici à son réveil

[repris dans une addition à la fin de II, 5, 5, f° 404]

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[un fragment d'une dizaine de mots non lu quoiqu'il soit barré d'un trait sinusoïde et donc vraisemblablement employé]

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[partie droite, suite du f° 248]

en pierre de Portland, parce que cette pierre résiste à la fumée. On voyait à Charing Cross un Charles Ier en bronze, et au Royal [corrige "Stock"] -Exchange, un Charles II en marbre, érigé par la Compagnie des marchands aventuriers. Il y avait un beau carillon à Ste Mary le Bow, et c'était là qu'on sacrait l'évêque de Londres. Il y avait à Guildhall une riche [corrige "belle"] bibliothèque. Un duc de Somerset, oncle d'Edouard VI, en emporta un jour soixante charretées de livres, promettant de les rendre. On attend toujours le retour de ces soixante charrettes.

St Paul de Londres a été bâtie sur un temple de Diane comme N[otre]-D[ame] de Paris sur un temple d'Isis (?) [Le point d'interrogation entre parenthèses est de VH.] Sous le papisme, les gens du comté d'Essex apportaient tous les ans à St Paul de Londres un cerf que bénissait l'évêque [ces deux mots intervertis par le signe de correction typographique] couronné de fleurs. [suite au f° 250]