Il s’agit du Premier président du parlement de Paris, qui lors de la Fronde, aux journées des 26 et 27 août 1648, se montra « le plus intrépide homme qui ait paru dans son siècle » (Retz, Mémoires) en tenant tête successivement, au risque de sa vie, à la foule parisienne puis à Anne d’Autriche et Mazarin à qui il demandait la libération de son collègue Broussel –version éclatante de ce qu’avait fait Hugo lui-même en prenant la défense ou en demandant la grâce de plusieurs insurgés des journées de juin 1848. Son nom est employé de la même manière dans Châtiments, IV, 8.