Converti et non républicain de naissance, Hugo mesure toujours exactement la
légitimité de la représentation nationale. Il lui reconnaît la souveraineté
absolue conférée en droit par le principe démocratique, sans ignorer qu’en
l’absence de liberté réelle, d’instruction, d’égalité sociale et de paix
internationale, l’Assemblée ne jouit que d’un pouvoir de fait.