L’ordonnance signée Maupas interdisant « cris séditieux »,
« lecture en public » et « affichage d’écrit politique »
est du lendemain. Il n’existe aucune autre décision écrite parlant de
« fusiller » que l’arrêté, du lendemain également, signé
Saint-Arnaud , ordonnant de fusiller non pas les colleurs d’affiches mais
« tout individu pris construisant ou défendant une barricade, ou les armes
à la main ». Voir en II, 4.