Il devait se sentir bien isolé en effet : pratiquement tous les noms cités des présents aux différentes réunions évoquées sont ceux de parlementaires et, d’une manière générale, Histoire d’un crime est bien plus l’histoire de la conduite des représentants de l’Assemblée, de gauche ou de droite, que celle de la résistance effective au coup d’Etat. C'est une des insuffisances de ce livre qui sera réparée dans Napoléon le Petit et dans Châtiments.