Juliette commente ainsi les conversations entre ouvriers entendues le 3 au
soir : « …on sent que l’enthousiasme et l’indignation manquent. Pour
eux, les choses se bornent à la dissolution de la Chambre qu’ils haïssent et à
l’emprisonnement de ceux des représentants qu’ils méprisent et détestent le
plus. »