Schœlcher : « Le bataillon passé, nous continuâmes notre marche pour
tenter un dernier effort, accompagnés de notre bon collègue Sartin, qui avait
pu nous rejoindre. Toujours revêtus de nos insignes parlementaires, entourés de
quelques citoyens déterminés, nous prîmes la rue de Charonne, haranguant les
ouvriers, les conviant à la défense des lois, criant toujours : “ Aux
armes ! Vive la république ! La patrie est en danger !” Vains
efforts. »