Il n’avait pas attendu la matinée du 3. Dès la soirée du 2,
« L’agitation était très vive sur la rive gauche, au quartier latin. Sur
la rive droite, des rassemblements considérables couvraient toute la ligne des
boulevards. […] Dans les quartiers riches, au boulevard des Italiens surtout, les
groupes formés par la foule élégante manifestaient bruyamment leur opposition
au coup d’Etat ». (Ténot, p. 175.)