Hugo connaissait et appréciait cet homme qui, en septembre 1848, lui raconte son arrestation de Blanqui en 1834 et dont il reçoit, le 9 décembre 1848, la veille de l’élection présidentielle, l’avertissement de veiller à sa sécurité. Voir ces récits et le portrait du personnage dans Choses vues, édition citée, vol. « Histoire », p. 1040 et 1124.