Lettre de V. Hugo, ancien pair de France et, comme beaucoup, épouvanté
de tout ce qui pouvait rappeler la Convention, au Moniteur du 5 novembre
1848 : « L'institution d'une assemblée unique me paraît si périlleuse
pour la tranquillité et la prospérité du pays que je n'ai pas cru pouvoir voter
une Constitution où ce germe de calamité est déposé. Je souhaite profondément
que l'avenir me donne tort. »