C’est l’objet de la pièce I, 6 des Châtiments : « Le Te Deum du 1er janvier 1852 ». Dès les premiers jours le régime s’attache à obtenir l’appui de l’Eglise – et réciproquement. Mayer reproduit la circulaire de Morny aux préfets du 15 décembre qui les invite lourdement à faire respecter le repos dominical et la majesté des exercices du culte (interdiction des réunions de cabaret, chants et autres démonstrations extérieures) ainsi que celle de l’évêque de Chartres à ses curés peu avant le plébiscite : « … Entraîné par vos propres vues, et plus encore par l’amour de la patrie, dont Jésus-Christ nous a donné l’exemple, vous signerez : Oui, je n’en doute pas… »