Hugo suit ici les notes prises du témoignage de Joanny, qui sont versées au Cahier complémentaire. Ni Juliette, ni Joanny, qui, avec une trentaine d’ouvriers, quitte vite le cortège pour aller désarmer des postes de garde nationale, ne mentionne l’attaque des sergents de ville du brigadier Revial. Mais elle figure dans l’historiographie officielle comme un exploit, la police étant très inférieure en nombre.