Beaucoup de détails du texte suggèrent qu’il est l’informateur de Hugo pour tout ce chapitre. Ils se virent souvent à Bruxelles dans les premiers mois de 1852. Schœlcher, dont le récit, plus bref, est analogue et qui partage peut-être la source de Hugo, fait escorter les voitures non par Fleury en personne mais par le capitaine Boyer, aide-de camp du ministre de la guerre.