Cette page, comme celle comparable du chapitre III, 10, n’est connue que par le manuscrit du livre où elle est abondamment raturée et corrigée. Elle a été écrite en 1877. Cela n’exclut pas que des notes prises dans le vif de l’action aient réellement existé, mais le rend peu probable. D'autant moins que les faits énumérés ne sont pas mentionnés dansle texte de 1852, mais qu'on les trouve dans les publications ultérieures sur le coup d'Etat (Mémoires de Voiron, explicitement cités ici, et livre d'E. Ténot en particulier). Pour le commentaire de cet improbable "instantané", voir P. Georgel, « L’Histoire photographe », communication au Groupe Hugo du 19 mars 1988.