Mayer : « Puis on tira de leur retraite le cocher et les chevaux qui avaient amené l’officier d’ordonnance ; on emballa dans les caisses du fiacre les décrets imprimés, et à quatre heures du matin MM. De Béville et de Saint-Georges arrivaient à la Préfecture de police où ce dernier remettait les affiches à Maupas, qui lui disait : “C’est la première fois que nous nous parlons, Monsieur, mais deux hommes de cœur doivent être heureux d’échanger, dans une pareille circonstance, leur première poignée de main.” »