Rodomontade de Changarnier à la tribune de la Législative, le 3 juin 1851, après le discours de Dijon où le Prince-président n’avait guère caché ses ambitions : « On n’entraînerait contre l’Assemblée ni un bataillon, ni une compagnie, ni une escouade, et l’on trouverait devant soi les chefs que nos soldats sont accoutumés à suivre sur le chemin du devoir et de l’honneur. Mandataires de la France, délibérez en paix ! » A nouveau évoqué en I, 14.