Hugo avait plaidé pour que les Bonaparte, Louis-Napoléon en particulier, soient autorisés à rentrer en France dans le discours du 14 juin 1847 à la chambre des pairs (Actes et Paroles I – Chambre des pairs 1845-1848, 1 ; vol. « Politique », p. 137). Lamartine, lui, avait deviné le personnage et s’était régulièrement opposé, sans succès, à toutes les mesures d’indulgence susceptibles de lui ouvrir un rôle politique.