Sénateur romain d’inspiration stoïcienne admiré par Tacite (Annales) et
Juvénal. « Quand le pouvoir de Néron se changea en tyrannie, il fut le
seul dans le Sénat avili qui montra quelque courage, condamna l’apologie que
Sénèque fit du meurtre d’Agrippine (59) et ne s’occupa plus des affaires
publiques que pour manifester sa courageuse opposition. » (Grand
Dictionnaire Larousse) Condamné, il s’ouvre les veines en 66.