Les notes dont Hugo dispose indiquent une autre réplique : il menace le commissaire de le faire guillotiner si jamais il revient au pouvoir. « Le commissaire pâlit : Mais, général, vous n’êtes pas sanguinaire. –Cavaignac regarda l’homme fixement et lui dit avec un calme subit plus effrayant que la colère : Je sens que je le deviens. » Mayer maquille : « –Oh ! fit-il en chemin, quand j’étais au pouvoir, si j’avais usé de semblables moyens. »