Dans le récit de Ténot, qui recopie Schœlcher, c’est lui qui aurait ouvert à Bertoglio : « Le jeune fils du général, en proie à une douleur au-dessus de son âge, conjurait les agents de ne pas faire de mal à son père, qu’il se reprochait en sanglotant d’avoir livré par sa naïve imprudence. » (p. 116) Mauduit, qui ne raconte aucune autre des arrestations du matin, fait le même récit que Hugo.