Schœlcher cite le témoignage de « M. Deville, professeur d’anatomie » et indique qu’il a été arrêté le 13 décembre. Ténot connaît aussi un « docteur Deville, fils du représentant des Hautes-Pyrénées » c’est-à-dire de Jean-Marie-Joseph Deville (1787-1853), officier de l’Empire, notaire sous la Restauration, représentant (d’extrême-gauche) à la Constituante et à la Législative. Arrêté et condamné à la déportation pour sa participation à la journée du 13 juin 1849, il fut « rendu à la liberté pour raisons de santé ». Le docteur Deville réapparaît plus loin.