Ténot : « M. Granier de Cassagnac qui rapporte cet incident, se
sent saisi sans doute de quelque scrupule à l’égard du baîllon, car il se borne
à dire : “Le commissaire ne lui laissa pas le temps de proférer une
parole, et lui fit observer qu’il se verrait obligé de le traiter avec rigueur
s’il faisait une nouvelle tentative.” » (p. 122) Mayer fait mieux :
« Le commissaire le contint et il n’insista pas davantage. »