Meyer se contente de caractériser la scène déjà racontée par Granier de
Cassagnac : « Chez M. Greppo, la scène tint à la fois de Fracasse et
de Diafoirus. » Ténot s’en indigne : « Les récits dégoûtants qui
ont été faits de l’arrestation du représentant Greppo, l’honnête et brave
ouvrier lyonnais, sont aussi faux et encore plus odieux. » La phrase de
Hugo se trouve presque telle quelle dans Schœlcher : « Le commissaire
de police M. Gronfier, accompagné de ses agents, dont l’un portait une lanterne
sourde et un autre un merlin… ».