Cette blessure est différente dans le récit, plus bref, de Schœlcher : « Il allait bien au combat comme un drapeau, car, blessé à la main droite quelques jours auparavant, il ne lui était pas possible de tenir une arme ; il recevait le feu sans pouvoir le rendre. […] Avec son bras impuissant, son cœur indomptable, et son écharpe qui le désignait aux coups de l’ennemi, ce jeune homme était comme la protestation vivante du droit contre la force brutale. »