Cette lettre s’inspire vraisemblablement de celles que Martial
Dussoubs-Gaston fit parvenir à Hugo en juin 1852. L’édition du Cahier
complémentaire par l’IN ne les reproduit pas – « elles ne sauraient
trouver place ici, n’ayant aucun rapport avec les événements du coup
d’Etat » – mais leur assimile avec tranquillité celle du livre de
Hugo : « …plusieurs étaient adressées à celle qu’il appelle “ma chère
Marie”, à celle qui eut son dernier souvenir, puisqu’on trouva sur lui une
lettre inachevée au moment où il tombait frappé par les balles […] (Voir t. II,
4° journée). »