En avril 1878, Hugo reçut de ce Lorin (l’édition de l’IN corrige
l’orthographe) une lettre –classée dans le Cahier complémentaire. Elle
attestait l’exactitude de tous les détails de cet épisode, que Hugo tient sans
doute de l’intéressé, sauf un : « L’agent n’a été qu’à demi étranglé
et la preuve, c’est que le lendemain je l’ai revu à la porte du café
Sainte-Agnès, rue Jean-Jacques Rousseau, et que j’ai failli retomber entre ses
mains. » Maitron connaît un Lorin, militant saint-simonien qui, en 1831,
est ingénieur à Brest.