Elle l’est encore sous le péjoratif de « quarante-huitarde ».
Peut-être parce que « l’idéologie quarante-huitarde», ce pléonasme,
faisait face à des questions aujourd’hui résolues : droit au travail ou
indemnisation du chômage, justice sociale ou aide aux « moins
favorisés », enseignement démocratique ou qualification des ressources
humaines.