Ce billet ne figure pas dans la correspondance de Hugo telle qu’elle est actuellement publiée. Le ton des lettres de Lamennais en décembre 1851 –« Moi, je n’augure pas mal d’un gouvernement qui commence par l’expédition de Rome, – car toutes les grandes questions sont latines–, et qui rétablit l’église Sainte-Geneviève [le Panthéon]. Je n’ai pas assez bonne opinion de la France pour dire que nous méritions celui-là. Si nous l’avons, c’est une miséricorde de Dieu. »– fait douter qu’il ait pu envoyer celle que Hugo cite. Celle-ci en revanche conclurait logiquement toute la conduite de Lamennais à l’Assemblée Constituante puis à la Législative, attentivement observée par Hugo durant ces trois années.