Aux premiers jours, la crainte fut générale en Europe de voir le neveu aussi belliqueux que l’oncle ; crainte plus grande dans les petits pays voisins, la Belgique en particulier qui trouva dans les menaces françaises motif ou prétexte aux restrictions de toutes sortes apportées à l’asile donné aux réfugiés politiques. Le plus beau est que cette crainte finit pas être justifiée et que la catastrophe militaire fut le seul vrai point commun entre le soi-disant Second Empire et le Premier.