Récit moins rapide mais analogue dans le témoignage de Charras rédigé par Hugo. Mais c’est Mayer, relayé par Schœlcher, qui donne le nom de Thirion : « Notre ami, M. Charras, avait toujours cru que cet individu, qui cachait si bien son visage, était quelque agent de police déguisé en officier supérieur pour en imposer à la troupe chargée de garder Mazas. Il se trompait. M. Mayer nous apprend que cet homme était un certain colonel Thirion, qui n’avait pas eu honte de prendre l’administration des cellules de Mazas pendant la nuit ! » Nommé le 2, il avait pris son commandement à cinq heures du matin.