Note de V. Hugo: « “Les français furent littéralement tirés du sommeil par notre attaque.” Helvig.»

Le dernier épisode des combats de Bazeilles, où s’illustra l’infanterie de marine réunie pour la première fois en une division, eut pour théâtre une auberge à la sortie du village où les soldats résistèrent, à la lettre, jusqu’à la dernière cartouche. Il fut immortalisé par un tableau aux innombrables reproductions : La Maison des dernières cartouches (Alphonse de Neuville, 1873).