* Note de V. Hugo : « L'Année terrible. »

Plus précisément dans le poème liminaire « Sedan » : « Bonaparte jadis était tombé ; son crime / Immense, n’avait pas déshonoré l’abîme […] De sorte que la gloire aimait cet homme sombre, / Et que la conscience humaine avait un fond / De doute sur le mal que les colosses font. »