Erreur sur la date – c'était le 21 août 1850 – d'autant plus surprenante que Hugo avait rendu visite à Balzac mourant et prononcé sur sa tombe un discours mémorable (voir Actes et Paroles 1, édition citée, vol. «Politique», p. 326 et les textes préparatoires dans Choses vues, Le Temps présent 4, ibid., vol. «Histoire», Annexes, p. 1343-1344).