Ou depuis longtemps exilés. Car la répression des « journées »
des 15 mai 1848 et 13 juin 1849 et surtout de l’insurrection de Juin avait tué
ou déporté les dirigeants et les membres les plus actifs des organisations de
l’extrême-gauche révolutionnaire ou socialiste (Barbès, Blanqui, Raspail …) et
même de la gauche républicaine (Ledru-Rollin, Pyat).