Il est violemment pris à partie par Louis Blanc, dans ses Pages d’histoire de la révolution de février 48, pour un faux témoignage à son encontre devant la commission d’enquête sur les événements du 13 mai 1848. Parmi les témoignages alors opposés à celui du lieutenant-colonel Watrin figure celui des officiers de sa légion ; il met en cause sa vaillance et est signé, entre autres, par son supérieur direct, le colonel Forestier.