François-Victor, condamné le 15 septembre 1851 à neuf mois de prison pour
délit de presse, est écroué
le 18 novembre ; Charles avait été condamné le 11 juin 1851 à six mois,
pour un article de L’Evénement où il avait manqué de respect à la peine
de mort dans la description d’une exécution besogneuse; son père l’avait
défendu au procès. Charles, écroué le 30 juillet, sortira de prison le 28 janvier
1852, François-Victor le 16 avril.